Notez qu’il s’agit d’une proposition et non de la correction officielle
Sujet 1 : Le philosophe peut-il adhérer aux croyances de son temps sans se trahir ?
Introduction :
- Définition des termes : philosophe, croyances de son temps, se trahir.
- Problématique : Un philosophe, par définition, cherche la vérité et la sagesse. Peut-il donc adopter les croyances dominantes de son époque sans compromettre sa quête de vérité ?
- Annonce du plan.
I. La philosophie et la critique des croyances :
- A. Le rôle critique du philosophe : Traditionnellement, le philosophe remet en question les croyances et les idées reçues.
- B. La philosophie comme quête de la vérité : Exemples de philosophes qui ont défié les croyances de leur temps (Socrate, Descartes).
- C. Les dangers de l’adhésion aveugle : Se conformer aux croyances de son temps peut mener à la stagnation intellectuelle et à l’erreur.
Transition :
- Cependant, un philosophe peut-il complètement se détacher de son époque ?
II. La compatibilité entre la philosophie et certaines croyances de son temps :
- A. Le philosophe et l’usage des croyances de son temps : Utilisation des concepts contemporains pour communiquer ses idées (Kant et les Lumières, Marx et le matérialisme historique).
- B. Adhésion critique : Le philosophe peut adhérer à certaines croyances tout en les analysant de manière critique.
- C. La nécessité de certaines croyances : Certaines croyances peuvent être rationnelles et fondées, et un philosophe peut y adhérer sans se trahir (le rationalisme scientifique).
Conclusion :
- Réponse à la problématique : Le philosophe peut adhérer aux croyances de son temps à condition de le faire de manière critique et éclairée.
- Ouverture : Le défi contemporain des philosophes face aux nouvelles croyances (technologie, écologie).